The Water Under the Bridge

Freshman year of college, at nights during the warm months when I couldn't sleep, I'd change into shorts and a long-sleeve t-shirt and go running. I'd run straight out the dorm and down Neeley toward the White River, and then I'd run along the path that led past the river, along the railroad tracks, to the south side of town. I'd race the trains as they came along, or jump in fright at the first bark of a dog. Some nights--at midnight, three a.m., whenever--I'd run as far as the graffiti murals the city had sponsored on the concrete walls abutting the path, on the stretch of the track just past the bridge, where once during the spring the area was so flooded Travis and I had to turn back; the water was up to our hips. I stopped running so late, eventually, after several people were murdered that year.

Quoi?

Parfois je ne sais meme pas quoi dire. Vous qui savez le francais, je vous demande pardon pour la manque d'accents. Les claviers anglais, ni l'internet, ne me permettent pas m'exprimer en cette langue avec tout soin. Ce soir j'ecris en francais afin de me permettre vous communiquer sans me repeter. J'ai l'habitude d'etre pedant dans mes articles, de donner mon avis comme ce l'est le loi. Je meme comprends pourquoi mes amis me regarde comme con arrogant. Alors, je vois qu'on n'avance pas. Cette explication est inutile. Comme toutes les miennes.

Je viens de regarder "Le Dernier Metro," un film de Francois Truffaut, qui l'a mis en scene. Et pour terminer la nuit, pour me guider au sommeil tranquille, je vais regarder les particularites bonus, les commentaires, les documentaires, etc. Parce que chaque nuit je dors avec difficulte. La plupart je m'occupe des pensees de la mort, la fin de la vie, le but de l'existence. C'est stupide, a mon age, d'etre paralyse par ces choses abstraites, mais je ne peux pas les nier. Elles sont insistente. Je suis embarasse. Voila pourquoi j'en ecris en francais; mais je ne sais pas pourquoi je m'inquiete. Il est sur que presque personne ne lit ce blog. C'est encore une demonstration de mon arrogance a penser que mes occupations de la tete peuvent vous interesser. Je parle en desordre.

Je m'inquiete toujours de quelque chose: ma sante, ma forme, mon intelligence, ma personalite. Qui suis-je? Que fais-je afin d'ameliorer le monde? D'aider quelqu'un? J'avais essayer plusieurs fois a repondre a ces questions, mais je n'ai aucune reponse. Alors, je termine. Excusez-moi cette parole. Je le sais bien que c'est pretentieuse. Mais, quoi faire?